Et puisque Paris me prend en otage pour quelques temps et quelques degrés Celsius en plus, c'est de manière saccadée que viennent mes mots, faute de régularité, vous me pardonnerez...
- L'allemand, ich mag lernen.
- Les chaussures...ooh trop. Pas encore succombé, mais ca s'en vient.
- Versailles et Vincennes, les châteaux. M'en reste encore une bonne dizaine.
- Les chats en laisse qui dorment sur les bancs de métro
- Ces itinérants schizophrenes qui tiennent ces chats endormis dans leur propre perdition
- Réaumur-Sébastopol : nauséeuse prise de conscience sur la condition humaine
- Les ruelles de bout de tiques
- Le Louvre ouvre les vannes de la curiosité, mon dieu, autre rappel de la réalité: je ne m'y connais pas du tout. Musées, muses de l'esprit. Et fuse la magie!
- La prise de la Bastille. La conquête des bars.
- Les québécois. Parce qu'on les croiserait dans les rues chez nous et on se sourirait sans plus, à Paris on s'en fait des amis, et des codécouvreurs.
La suite pour plus tard... Parce que Paris me prend et le temps aussi... Ce fut une ombre de ce que je vis, de ce que j'éprouve... La vie d'une kleine mädchen von Land (petite fille de la campagne) exilée en terre urbaine.
En espérant que tout ce passe pour le mieux chez vous, que les peines sont bienfaisantes et les joies généreuses en promesses. Hallelujah!