Une nuit de farniente dans cette maison qui craque
Puis dans les volutes des vapeurs caféinées,
Et les exclamations obtempérées
de la chanteuse d'opéra
Je m'éveille, silencieusement,
Devant la belle vitrée
Qui d'elle filtre délicatement
Du haut de ses nuages
Une lumière d'ambre
Sur mes paupières closes un rayon
Qui d'un chaud murmure
Fait glisser en moi un frisson
Au gré des mouvements
Au-delà des arbres ondulants
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Lumière chaude du matin... Pour qui sont ces livres qui sèchent le cours du temps?
RépondreEffacerOxy